Ah, cette prime jeunesse du romantisme ! Weber y donnait ses flamboyantes ouvertures, Paganini ses concertos chantants et diaboliquement virtuoses, dont l’inoubliable « Campanella ». Cependant, encore loin des spotlights de l’époque, l’enfant prodige qu’était Mendelssohn composait des symphonies, non seulement époustouflantes de maîtrise, mais qui, comme dans celle en ré majeur, annonçaient déjà les splendeurs du grand siècle romantique à venir.
Sous la baguette du renommé Ed Spanjaard, l’Eden aura le privilège d’accueillir le jeune Amaury Coeytaux, sans doute l’un des plus grands violonistes de sa génération.
Direction : Ed Spanjaard
Soliste : Amaury Coeytaux (violon)
Tarif : 10€ – 2€ – navette – tambour
Propulsé par iCagenda